Dimanche 17 septembre ; Un projet d'immersion linguistique dans l'une de nos implantations scolaires

Par Carlo Di Antonio, dimanche 17 septembre 2006 à 20:32 :: Mon petit journal de campagne : chaque jour une réflexion, un coup de cœur, un coup de gueule, une idée... :: #80 :: rss

Tout est dans le titre. Avec l'équipe de Dour Renouveau nous proposons la création d'un projet d'immersion linguistique dans l'une de nos écoles primaires. Ce type de projet fonctionne très bien car les enfants ont une énorme capacité à apprendre une seconde langue. L'un des objectifs est bien entendu de mieux préparer nos enfants au marché de l'emploi. L'implantation choisie exercera aussi une forte attraction pour les enfants des communes voisines; là où ce type de projet n'existe pas. Vos réactions?

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Commentaires

1. Le dimanche 17 septembre 2006 à 20:46, par patrick

monsieur di antonio cela ne vous dérange pas de donner une idée qui a été proposée il y a quelques semaines par un échevin au collége.( vous y étiez absent apparement).
bien a vous.

2. Le dimanche 17 septembre 2006 à 20:54, par Carlo

Bonjour Patrick, Le collège c'est le bourgmestre et les échevins. Je n'en fais donc pas partie et je ne pouvais donc pas avoir connaissance de cette proposition.
Mais pourquoi tout ce qui aurait pu être fait ces derniers mois et ces dernières années arrive au Collège aujourd'hui?
Le collège prend des décisions, apparemment ici il semble plutôt que ce soit une discussion au collège plutôt qu'une décision. En effet je n'ai rien vu de concret en ce sens dans l'une de nos écoles.
Ceci dit, tant mieux si le projet est lancé. L'important est que cela se réalise.

3. Le dimanche 17 septembre 2006 à 23:20, par Juste de passage

"dans l'une de nos écoles primaires".

Laquelle?

4. Le dimanche 17 septembre 2006 à 23:49, par Carlo

Je ne sais pas dans laquelle. C'est prématuré de décider cela. Ce n'est pas le plus important.

5. Le lundi 18 septembre 2006 à 08:52, par Juste de passage

Cela peut avoir son importance! Mais attendons de voir...

6. Le lundi 18 septembre 2006 à 09:48, par Un observateur dourois

Très bien pour l'immersion linguistique et encore mieux si les parents sont de nationalités ou de régimes linguistiques différents . A domicile , ils devraient parler chacun leur langue maternelle à leur(s) enfant(s) et on doit encourager cette méthode qui porte ses fruits . Je connais pas mal de cas à Dour où cette pratique est d'application .
Puisque nous parlons d'immersion linguistique , encore faudrait-il savoir quelle langue devra être l'objet de cette immersion . Je ne parle pas ici d'action communale mais d'action nationale .
Nous sommes en Belgique et nous pensons immédiatement à l'apprentissage du néerlandais pour les francophones et du français pour les néerlandophones .
Stoppons cette approche et avouons , sans dénigrer nos amis du Nord , qu'il y a une certaine dissymétrie dans cette approche . Bien que le français ait perdu quelques plumes ces dernières années , la motivation et la nécessité qu'un néerlandophone apprenne le français reste encore prépondérante par rapport au francophone envers le néerlandais .
Solution :
tant au nord qu'au sud du pays , deux langues doivent être enseignées à savoir la langue maternelle et l'anglais sans plus . Notre périmètre de communication tant dans les domaines techniques , politiques , philosophiques et bien d'autres s'étend de plus en plus et l'anglais doit être considéré comme langue véhiculaire à l'instar du latin utilisé par le clergé dans le monde entier il y a qulques années (1).
Le jeune qui en veut et qui désire étendre ses connaissances linguistiques le fera de sa propre initiative soit au-travers de cours optionnel , de cours du soir , de cours privé , .. etc ..
Les hollandais ont bien compris cette approche et croyez-moi , ils ont beaucoup moins le culte de leur langue néerlandaise qu'ils reconnaissent comme minoritaire au niveau international .

(1) Je ne vise pas Maria Arena hi hi !!!

7. Le lundi 18 septembre 2006 à 18:27, par bernard

Entièrement d'accord avec l'approche du problème d’observateur dourois, il est ridicule et cher payé d'obliger nos chères têtes blondes a apprendre le Néerlandais pour des raisons de susceptibilité flamande. Ceux-ci imposent leurs dictats aux wallons exsangues de plus de 50 ans de gestion chaotique du parti socialiste.

Soyons réaliste la langue véhiculaire de l'Europe de demain est l'anglais, n'en déplaisent à certains nostalgiques d'une Belgique au bord de la scission linguistique.

8. Le lundi 18 septembre 2006 à 21:16, par Carlo Di Antonio

Je suis assez d'accord sur le choix de l'anglais. C'est clair que dans une vision européenne de notre avenir c'est la langue à maitriser absolument. L'idéal est d'y ajouter en numéro 3 le néerlandais.

9. Le lundi 18 septembre 2006 à 21:47, par said.

Merci BERNARD pour l'argumentation ,seul point ''inquiétant" à mon sens :c'est d'essayer d'exclure -les termes tels que :";nos chéres tetes blondes";ça risque de donner des mauvaises ideés à certains.Merci Carlo et bon chance à tte l'équipe.

10. Le mardi 19 septembre 2006 à 14:07, par un jeune dourois

said,

je suis tout comme toi très sensible à la lutte contre tous les extrémismes (qu'ils soient de gauche comme de droite) mais policer notre language jusqu'à enlever toute expression idiomatique et culturelle relève du beaucoup trop politiquement correct à mon avis.

et je ne crois pas que l'expression "têtes blondes" ne releve d'une connation de bon a rien (aryen).

11. Le mardi 19 septembre 2006 à 14:33, par Un observateur dourois

Réponse au point 7 de Bernard et 8 de Carlo

Nous sommes pratiquement sur la même longueur d'onde .
Petite précision supplémentaire et petite rectification personnelle vers Carlo .
L'apprentissage du néerlandais est un combat d'arrière garde . Carlo dit qu'il faut conserver le néerlandais comme troisième langue . Je ne le pense pas et il faut le supprimer purement et simplement des cours obligatoires . Au Nord du pays , supprimons le français des cours obligatoires . Laissons libre chacun de prendre ces deux langues nationales en cours optionnel . C'est la meilleure manière , à terme , de faire tendre la situation linguistique vers une évolution naturelle et non forcée comme actuellement .
Dans mon métier , lorsque j'avais des contacts avec les hollandais , nous adoptions l'anglais comme langue de communication et je n'ai jamais eu de remarques désobligeantes de leur part parce que nous n'adoptions pas notre seconde langue nationale dans les réunions . La politesse envers ces clients hollandais était simplement de glisser de temps en temps un peu de néerlandais .
Une Belgique fédérale avec au Nord le bilinguisme néerlandais - anglais et au sud le bilinguisme français- anglais .... et Bruxelles ? C'est effectivement là le noeud du problème avec une région enclavée dans le Nord avec une majorité de francophones .
Cela nous éloigne un peu des élections communales .
Tiens , il me vient une idée pour commencer l'immersion , pourquoi ne pas éditer les publicités électorales de Dour renouveau en français et anglais ? Ce serait une première en Belgique . Il faut bien commencer un jour .

12. Le mardi 19 septembre 2006 à 16:06, par Kercadio

Bonjour à tous,
Je me souviens d'une époque où ma fille étudiait l'anglais, le néerlandais et le latin en même temps en début de secondaire... quelle galère!
Au bout d'une année elle parlait "le néerlanglais" en étant parfaitement incapable de les différencier.
Il y a les doués et les autres, de quoi creuser plus sûrement encore le fossé des disparités sociales.
La langue maternelle plus l'anglais c'est bien assez pour communiquer avec une grande partie du monde.

D'autre part je vous propose une réflexion d'historienne :
imaginez dans quelques siècles qu'un de nos descendants dissèque ces XXe et XXIe siècles (j'espère qu'après il y aura du changement!).
Il voit deux grandioses idioties dans notre belle civilisation :
- justement ne pas avoir réussi à s'entendre sur une langue internatio- nationale (en gardant celle de sa culture-mère)
- ces incessants déplacements de populations pour aller au travail : perte de temps, bouchons, stress et accident, gaspillage éhonté d'énergie, polution...
Cordialement.

13. Le mardi 19 septembre 2006 à 16:49, par Un observateur dourois

Bien dit Kerciado .
L'Europe a un très gros handicap par rapport aux USA. C' est celui de la multiplicité des langues . Quand vous voyez au niveau des commisions européennes le travail de traduction qui est nécessaire , la perte de temps , de paperasses il y a une dépense énorme d'énergie et un manque total d'efficacité . Que la Belgique montre l'exemple en préparant la génération suivante à régler ce problème de manière définitive . Il est déjà trop tard pour les 20 - 30 ans alors , pensons aux suivants .
Voilà , c'est ma dernière intervention sur le sujet sinon Carlo va, à juste titre , me remettre à l'ordre en me traitant de commère hi hi .

Je souligne en passant , la bonne idée générale de ce forum .

14. Le mercredi 20 septembre 2006 à 21:06, par dan de pt dour

l'idée est trés bonne car travaillant a bruxelles je me rends a l'évidence ,tout les postes importent sont occupé par des bilingues voir des trilingues,quand au chois de la langue je crois que c'est un chois difficile a faire car au niveau de l'europe l'anglais est importent mais n'oublions pas que l'on travail en belgique avant de travailler en europe ,donc anglais ou nerlandais ??? je sopuse qu'une étude sera faite avant le chois

15. Le jeudi 21 septembre 2006 à 22:44, par Carlo

Il faudra réflechir au choix de la langue. Pour moi ce serait plutôt l'anglais mais bon...
D'autant plus que l'apprentissage en primaire de cette seconde langue n'exclut pas l'apprentissage d'une troisième langue dans le secondaire.

16. Le jeudi 28 septembre 2006 à 16:56, par Mélanie

Bonjour,

J'habite à Dour depuis toujours. Etant traductrice français-néerlandais, j'estime que connaître la deuxième langue de notre pays le plus possible est nécessaire et représente un atout majeur dans la vie professionnelle. Ma fille est en deuxième maternelle et j'avais demandé l'année dernière à ce qu'une école en immersion soit créée à Dour, on m'a répondu que cela n'était pas d'actualité. De ce fait, alors qu'habitant Dour, ma fille va à l'école à Strépy Bracquegnies tous les jours mais elle est en immersion qui plus est dans un établissement où règne une très bonne discipline et rigueur ce que l'on peut également déplorer ne pas exister dans certaines écoles douroises, notamment celle où ma fille a effectué sa première maternelle. Alors si une école en immersion en néerlandais bien sûr se crée, il est clair que ce sera bien pratique pour nous...

17. Le samedi 30 septembre 2006 à 12:03, par Jeune dourois

Bonjour,
Personnellement , je trouve que l'immersion du NEERLANDAIS dès le plus jeune age est essentiel. Peu de jeune de la région le parle et s'en trouve fortement handicapé (et moi m d ailleurs) sur le marché du travail.
Il y a peu de travail dans la région, et donc, bcp de gens sont obliger de chercher du travail vers Bruxelles... Il est presque impossible de trouver une place correcte sur Bruxelles si on n'a pas le néerlandais.. Pensez à l'avenir de vos enfants !!

18. Le jeudi 14 décembre 2006 à 16:23, par Un observateur dourois

Je n’ai trouvé que ce sujet pour glisser un commentaire sur le « canular- fiction » de la RTBF ce mardi 13 décembre 2006.
Sur le fond , c’est pas toujours mauvais de secouer le cocotier
Sur la forme choisie par la chaîne TV , c’est beaucoup plus discutable.
J’entendais déjà les élèves dire : « Chic, on ne devra plus apprendre le néerlandais. »

Plus sérieusement.
Quand les politiciens néerlandophones voient l’énergie dépensée par leurs confrères PS du Sud du pays pour tenter de sauver leur bateau qui coule au travers des scandales sans fin , ils se disent certainement que pour ne pas sombrer avec ce Titanic wallon , il vaut mieux quitter le navire à temps .

S’immerger : oui .
Couler : non .

19. Le vendredi 15 décembre 2006 à 23:01, par Vincent

Comme beaucoup de personnes, j'ai cru au canular de la RTBF durant une dizaine de minutes et j'étais choqué et très triste d'assister en direct à la fin de ma chère Belgique. Jamais je n'aurais imaginé que la RTBF aurait pu inventer cette "information" et je me suis même fait la réflexion que RTL-TVI était lent pour interrompre ses programmes...

Au-delà de mon émotion personnelle, plusieurs réflexions me viennent à l'esprit avec le recul et en lisant et écoutant les nombreuses réactions.

1° Le seul point positif à mes yeux : les francophones sont très attachés à la Belgique. Les partisans d'une république wallone ou d'un rattachement à la France n'ont aucun soutien au sein de la population. Le Rassemblement Wallonie-France a d'ailleurs connu un échec lors des élections provinciales d'octobre 2006.

2° Depuis plusieurs années, le journal de la RTBF perd des télespectateurs et est sèchement battu par RTL-TVI. Ce mercredi, les journalistes de la RTBF ont perdu leur crédibilité auprès de nombreuses personnes et mettront longtemps avant de la retrouver... Est-ce le rôle d'un service public de mettre en scène l'information et de faire un show? Ne courrent-ils pas derrière le succès des chaînes privées? Combien d'argent (du contribuable) cette farce a-t-elle coûté?

3° De quel droit les journalistes peuvent-ils jouer avec les sentiments des télespectateurs? Ont-ils bonne conscience en apprenant qu'ils ont fait pleurer et paniquer beaucoup de personnes âgées? Comment auraient-ils réagi si un francophone outré et énervé aurait pris une arme et tiré sur des Flamands rencontrés en rue?

4° La rédaction de la RTBF a jeté le discrédit sur sa profession. Lorsqu'on choisit le métier de journaliste, c'est pour informer le citoyen et trouver la vérité, pas pour manipuler des images et énoncer des mensonges. La RTBF n'aura plus de leçon à donner aux médias américains qui ont travesti la vérité lors des interventions militaires de leur pays en Irak et dans le Golfe...

5° La RTBF a couvert de ridicule notre pays - et en particulier la Wallonie - à l'étranger. Etait-ce bien utile?

6° Les réactions montrent que la RTBF n'a pas provoqué un débat sur l'avenir institutionnel de la Belgique, mais plutôt sur la force et la déontologie des médias. Leur but n'est donc pas atteint.

Après avoir évoqué la forme de cette pseudo-émission, venons-en au fond : les querelles communautaires et l'avenir institutionnel de notre pays. Si nous sommes attachés à la Belgique, que pouvons-nous faire, nous petits citoyens, pour convaincre les Flamands de ne pas aller vers le séparatisme?

1° Redresser la situation économique de la Wallonie, notamment en ne votant pas, lors des élections de 2007, pour le parti dominant depuis plusieurs décennies au Sud du pays qui n'a pas réussi à diminuer le taux de chômage et qui donne de nous une mauvaise image en Flandre par des scandales à répétition depuis deux ans (douche de Marie Arena, mauvaise gestion de Charleroi et de l'Awiph,etc).

2° S'investir dans des associations regroupant des Wallons, des Bruxellois et des Flamands qui luttent pour le maintien de la Belgique fédérale et une meilleure compréhension entre les trois régions. Un rapide coup d'oeil sur le site Internet de l'association BPlus vous permettra de juger de la pertinence de leurs idées.

3° Améliorer les connaissances des Wallons et Bruxellois en néerlandais et faire un effort pour le parler lorsqu'on se trouve en Flandre. Dans le cadre de cet objectif, je soutiens pleinement le projet d'immersion linguistique de la nouvelle majorité à Dour.

4° Augmenter les liens entre les habitants du Nord et du Sud du pays. Là aussi, on peut organiser un jumelage entre Dour et une commune flamande de même taille, réaliser un site Internet présentant Dour en néerlandais (notamment à l'intention des jeunes Flamands venant au Dour Festival). Le Fonds Prince Philippe soutient financièrement des échanges entre écoles des différentes communautés ; pourquoi ne pas proposer la candidature des écoles communales de Dour?

Monsieur Di Antonio, j'aimerais avoir votre avis sur l'émission spéciale de la RTBF et si vous avez l'intention de demander des comptes à la ministre compétente au Parlement de la Communauté française. En tant que bourgmestre de Dour, que pensez-vous des propositions que je viens d'émettre? Lors des prochaines élections législatives de 2007, que répondrez-vous à ceux qui disent que voter CDH, c'est voter pour le cartel flamingant CD&V/NVA d'Yves Leterme? Merci d'avance de votre réponse.

Enfin : vive la Belgique!!!

20. Le samedi 16 décembre 2006 à 10:35, par syl

Concernant les post 8 et 9
Je n'étais malheureusement pas devant ma télé ce soir-là, et n'ai donc pas "vécu" l'événement.
Au-delà des débats suscités par cette émission, si on prend un peu de distance, la seule vraie leçon à en tirer, je trouve, c'est de ne pas "gober" tout ce qu'on veut bien nous donner comme informations via les médias!

Bon w-e! Et réfléchissez-y :D
Syl

Le quatrième pouvoir a perdu de sa crédibilité, il est financé pour une grande part, par la publicité, et donc, par les lobbies économiques.
Cf. article du monde diplomatique en ligne : www.monde-diplomatique.fr...
Article très bien fait, et qui vous aidera à comprendre pas mal de choses...

Si vous avez un peu lu et écouté ou regardé les compte-rendus de mise en place des CC le 5 décembre, vous aurez pu remarquer que l'orientation du discours était souvent différente selon la source!

Ce qui vient à me faire dire : il est serait peut-être temps d'éduquer les enfants et les jeunes aux médias, afin qu'ils conservent leur sens critique devant "dieu télévision" a dit que!

Ca, ce serait vraiment élever l'homme et l'armer pour le futur ;-)

Les parents n'y parviennent pas toujours, car ils sont souvent eux-mêmes un rien "naïfs" devant la masse d'infos distillées par les médias

21. Le samedi 16 décembre 2006 à 15:09, par Observateur de Blaugies

Avènement d’un quatrième pouvoir ?... Actuellement, pas de danger !

Mercredi 13/12/2006… Mercredi soir… ! RTBF, J-Cl Defossé…! Question à un euro… ! Qu’est-ce que cela doit évoquer immédiatement à votre esprit ? Humour piquant ?... Serial-killer ?... Star-academy?... Soyons sérieux, il faut avoir le cortex ensablé pour ne pas comprendre qu’il peut y avoir de l’imprévu et de l’imaginatif au pouvoir ! A ce moment, je vaquais à d’autres occupations… Incroyable, si j’avais su que j’allais rater le numéro historique de l’émission traditionnelle de J-Cl Defossé, je m’y serais accroché! Cette émission m’amuse depuis plusieurs années. Et oui, qui n’a pas envie de se défouler ! C’est un exutoire cette émission ! Tout en restant dans un contexte démocratique, un gros parfum d’humour caustique et décapant bouscule les traditions des normes traditionnelles acquises.
Depuis lors, suite au big-bang médiatique engendré, j’ai visionné sur Internet des fragments de l’émission et je crois qu’il fallait avoir les neurones sclérosés pour ne pas comprendre qu’il s’agissait de la même liberté intellectuelle du mercredi soir. Quelle saveur cette évasion hallucinante, source de réflexion profonde ! Evidemment, encore faut-il atteindre l’altitude du deuxième degré !
Il est vrai, que dans ce cas-ci, tout l’institutionnel politique démocratique, très normalisé dans ses fonctions, s’est senti bousculé par l’audace imaginative journalistique !
Maintenant, une question fondamentale se pose, comment cet humour profond a-t-il été perçu par tous ? Cet apprentissage à la gestion de l’émotionnel des populations constitue-t-il un avènement d’un quatrième pouvoir sur l’échiquier de la démocratie ?
Ouf de soulagement pour moi et élément de sérénité interne : le monde journalistique s’est livré très rapidement à une autocritique positive par rapport à la déontologie de sa profession ! J’appréhendais une réaction collective et poujadiste face au désarroi du monde politique !
Maintenant, il a été reproché aux professionnels de l’information de s’installer dans le rôle d’acteur mais qui ne profite pas de cette scène médiatique de la télévision ? Le spectacle et le hit-parade ne permettent-ils pas de catapulter des hommes ou des femmes au firmament de la fonction de leader idéologique ? Attention, dès les premières rides, la vedette s’étiole et, hélas, tout est éphémère… Le public se lasse vite et il est exigeant !...
L’essentiel est et restera toujours l’accessibilité pour tous à l’information et à sa crédibilité que ce soit au premier ou au deuxième degré pour l’équilibre de notre démocratie.

22. Le samedi 16 décembre 2006 à 17:55, par Observateur de Blaugies

Dorsale(s) wallonne(s) ! Y a-t-il une ou plusieurs propositions ?
Faut-il se laisser mener par le bout du nez en Wallonie par la Principauté de Liège ?

Dorsale ferroviaire wallonne mais quelle dorsale dans l’intérêt des wallons et de la Belgique ?
A titre de préalable, je tiens à rappeler que tout développement économique national ne peut se concevoir qu’au travers des ports à dimension internationale qui sont des pôles vectoriels de tout dynamisme lié à l’importation et l’exportation de marchandises. Si nous prenons l’exemple de la France, les grosses métropoles du Havre, Bordeaux, Dunkerque, Marseille… sont des portes ouvertes sur le Monde Extérieur et constituent des sources d’oxygène pour le développement économique du pays. Il en va de même pour tout autre pays.
Si je me rattache à l’une des idées maîtresses d’Yves Leterme (voir FUCAM) : « la Flandre dispose d’une logistique portuaire importante qu’elle ne valorise pas d’une façon optimale. », je pense qu’il y a sérieusement matière à réflexion dans le cadre d’une complémentarité wallonne.
N’est-ce pas d’une façon feutrée un aveux d’étouffement de la Flandre face à des réalités d’aujourd’hui et des projets futurs d’expansion du port d’Anvers ? La Flandre n’arrive-t-elle plus seule à gérer le souffle des flux de marchandises au travers de son seul investissement personnel ? N’oublions pas que le port d’Anvers vit sous la menace constante de la rivalité du port de Rotterdam !
Dans la perspective d’une Europe à 27 et de plus en plus « Europe Centrale », je crois qu’il serait intéressant, pour renforcer notre union nationale, de jouer, de plus en plus, cette gestion et cette expansion de l’écoulement des flux de marchandises (entrepôts et axes ferroviaires) en direction de l’Europe Centrale.
Je pense que l’heure est venue de ressortir une bonne vieille idée de créer un axe ferroviaire d’Anvers à Arlon pour dispatcher ensuite par la route, sur toute l’Europe, les flux de marchandises qui dépassent la Flandre. Si j’ai bien compris le non-dit d’Yves Leterme, la Flandre a besoin d’une région européenne qui soit un partenaire économique. Pourquoi la Wallonie ne pourrait-elle pas se positionner comme complément ombilical de la Flandre ?
Maintenant, au-delà d’un axe Anvers-Arlon, on pourrait aussi imaginer un axe Anvers-Mons-Nord de la France intensifié. Arrêtons de croire que l’avenir de notre wallonie se résoudra uniquement au travers d’un axe Dunkerque-Liège. I l faut qu’il y ait complémentarité de tous les axes dans l’intérêt de toutes les sous-régions wallonnes. Il est temps que la sous-région de Mons-Borinage monte au créneau et qu’elle affirme sa maturité face à l’hégémonisme de la Principauté de Liège ! Le « Happartisme » de Liège ne constitue pas la panacée universelle pour la région de Mons-Borinage !
Ce qui est certain, c’est que là où un axe ferroviaire ou un axe autoroutier passent avec desserte locale, il y a désenclavement de la sous-région. Il ne faut pas se contenter de voir passer les trains, bien sûr !... Pour s’en convaincre, il suffit de voir le développement économique de la sous-région de Millau dans l’Aveyron depuis la construction du fameux et majestueux viaduc autoroutier. Un véritable boum économique pour l’investissement !

23. Le mercredi 10 janvier 2007 à 15:34, par Observateur de Blaugies

REFLEXION sur l’émission du 13/12/2006
Facile de passer de la fiction au réel mais opération inverse très difficile.
Pourquoi 89% de la population y a cru à ce gag de la RTBF ?

Je commencerai par une affirmation qui n’est pas de moi, soyez rassurés : « Toute peur débouche sur une incohérence partielle ou totale à se gérer par rapport à soi ou par rapport à son monde environnemental ».
Toute peur n’existe donc pas d’une façon absolue. Toute peur présente un caractère individuel et résulte d’une expérience de vie personnelle traumatisante. Notre peur, nous la connaissons mais son origine nous est parfois très diffuse, enfouie au plus profond de nous-même. Voilà un bel exemple de relativité. Ainsi, tout le monde n’a pas peur des souris mais tout le monde peut, par mesure sanitaire, décider de l’éviction radicale de celles-ci de son habitation. Cependant, seules les personnes qui ont peur des souris réagiront d’une façon totalement irrationnelle en présence de celles-ci au point d’en perdre tous leurs moyens.

Avant le 11 septembre 2001, notre postulat de base ou notre croyance populaire était que la fiction dépassait le réel.
Lors de ces fameux événements du 11 septembre, installé dans l’habitude du monde de la fiction, tout individu, lors des premières images, a su garder son self-contrôle et accéder d’une façon rationnelle à une étude comparative des différentes sources d’informations par le zapping pour accéder malheureusement au réel dramatique. Situation inverse découverte : le réel avait dépassé la fiction !

Aujourd’hui, phénomène opposé à celui du 11 septembre, et c’est là que tout se complique ! Confirmés dans l’idée que la réalité dépasse la fiction, notre point de départ par rapport à toute information est chaque fois le réel. Toute image a valeur de réalité. Installés dans le réel et dans la peur collective qu’il engendre depuis le 11 septembre, notre réaction devient intellectuellement lente puisque soumise à l’irrationnel de notre peur qui nous tétanise et nous inhibe dans toute recherche comparative du zapping. Assommés par la force de la réalité et de notre peur, nous sommes anesthésiés.

Si je puis résumer, je dirais qu’il nous était facile de rechercher le réel en partant d’une base fictive sécurisante alors qu’il nous est très difficile de rechercher la fiction inespérée à partir d’une réalité omniprésente dans nos mémoires et sous le joug de notre peur.

Tous les jours, par les médias, les guerres et leurs atrocités s’imposent à nos yeux et nous clouent dans le réel. C’est la « TV- REALITES » au quotidien ! Sommes-nous encore capables d’imaginer que la fiction existe toujours, elle aussi ?

Maintenant, au départ, quelle émission a-t-on interrompu ? Comme par hasard, celle de J-Cl Defossé ! Tout le monde connaît le talent particulier de ce journaliste légendaire !
Depuis plusieurs années, au travers de ses différentes émissions (les travaux inutiles,…), il a toujours gardé le même état d’esprit, la même approche des réalités avec le même humour caustique. Par ses gags et son imagination, ses émissions ont toujours été interpellantes et source de réflexion.
Qui a changé ? Le journaliste ou nous ?
Sommes-nous condamnés à vivre étouffés sous la chape de plomb du réel et de la peur collective qui nous bloquent dans nos pensées et nos recherches vers une hypothétique fiction ?
Pourtant, aussi mince soit-il, l’espoir infime de la fiction existe toujours !

24. Le mercredi 10 janvier 2007 à 19:32, par syl

Bien dit, observateur de Blaugies!
Les messages négatifs dont nous abreuve la télévision à longueur de journée (et les autres médias aussi, d'ailleurs!), la peur de l'autre, le discours sécuritaire, manipulent nos pauvres cerveaux qui n'ont plus la notion de "où s'arrête la fiction? Où commence la réalité?".
Nous perdons notre sens critique, nous nous recroquevillons sur nous-mêmes, nous n'osons même plus saluer ou regarder l'autre!
Est-ce là le monde dans lequel nous voulons vivre demain?
Est-ce là l'univers dans lequel devront vivre nos enfants????
Entre "1984" de George Orwell et "le meilleur des mondes" d'Aldous Huxley?
Cette émission aura, j'espère été un électrochoc pour une grande part de nos concitoyens, j'espère qu'il leur permettra de retrouver des repères et du bon sens!
Bonne soirée!
Syl

25. Le mardi 30 janvier 2007 à 20:15, par XYZ

J'ai été un peu surpris de voir les drapeaux belge et wallon sur la faça de de l'Athenée de Dour ce lundi .
Pas d'information sur le but de cette délicatesse envers sans doute quelqu'un d'important ?
Sans garantie de l'information , il semblerait que Maria Arena soit venue se pointer .
Notre bourgmestre a-t-il été invité ?
Pas d'échos de ce qui s'est passé .
Peut-être une visite de courtoisie ou nouvelle idée à la Arena ou visite tout simplement pour narguer Carlo?

Je n'ai pas d'éléments , donc je la boucle .
Kooolman est peut-être au parfum ?

26. Le mardi 30 janvier 2007 à 22:31, par Carlo Di Antonio

XYZ, Marie Arena était à l'Athénée ce lundi matin. J'étais invité mais malheureusement pas disponible.

27. Le mercredi 31 janvier 2007 à 17:56, par rebelle

qu'on apprenne l'anglais et c'est tout

28. Le samedi 3 février 2007 à 11:37, par Petitgourou

Une école en immersion... quel projet! Et pourquoi pas , plus simplement : Sensibiliser , donner le goût des langues étrangères par quelques bases, quelques mots de vocabulaire, quelques petites chansons... pour initier " nos chères petites têtes blondes" et cela quelques périodes par semaine. Les enfants des classes maternelles participent bien à des séances de psychomotricité 2h/ semaine, pourquoi pas le même système avec " l' éveil aux langues"?

29. Le mardi 6 février 2007 à 16:48, par le plus beau métier du monde

plusieurs questions me viennent à l'esprit?????sait on déjà dans quelle implantation va t'on mettre en place ce projet?????Si oui l'équipe éducative est elle au courant ?????Va t'elle etre modifiée????Où vont aller les enfants dont les parents ne sont pas intéressés par ce type de projet???va t'on réaliser un sondage pour savoir qui serait pour et pour le choix de la langue,est ce vous monsieur le bourgmestre qui allez décider???Ce projet est très intéressant ,il peut revaloriser l'enseignement dans une commune mais il comporte aussi bons nombres de points négatifs surtout pour de jeunes enseignants de la commune qui vous ont fait confiance en votant pour vous et qui se verraient dépasser dans l'ordre des intérims par des pseudo enseignants parlant la langue choisie.Le marché de l'emploi n'est déjà pas rose alors cela est encore plus décourageant.........pourriez vous répondre à toutes mes incertitudes??????Merci

30. Le mardi 6 mars 2007 à 12:04, par XYZ

Question à Mme Coolsaet.
Page 29 de Dour infos.
Question qui m'a été posée et que je vous transmets.
Vous annoncez le programme d'immersion linguistique dans" l'une de nos écoles " pour la rentrée 2007.
Le choix de l'école est-il déjà fixé ou préférez-vous attendre la rentrée .
L'intérêt de nombreux parents pour ce projet pourrait générer un flux important d'enfants vers cette école pilote au détriment d'autres écoles de l'entité.
J'ajoute et ne fais que citer : " Madame Coolsaet risque de ne pas être neutre dans ce choix et favoriser une commune de l'entité plus qu'une autre même si 2008 verrait élargir le projet"

31. Le vendredi 9 mars 2007 à 21:51, par Marc Dacotez

J’ai découvert le projet d’immersion dans le nouveau Dour Info… Comme beaucoup, je suis convaincu de l’importance de l’étude des langues et je suis partisan de les traiter comme des matières fondamentales à l’instar du calcul ou du français.

L’aventure de l’immersion a été tentée dans une école primaire de la région de Mons, et j’ai pu en observer les effets… pervers.
Enseignant, j’ai par ailleurs eu le plaisir de donner cours à des anglophones (adultes) dans leur propre langue avec un certain succès semble-t-il ; mais ce n’est pas vraiment comparable…

En ce qui concerne l’enseignement maternel et primaire, je ne partage pas l’enthousiasme ambiant.

A moins de lui octroyer des moyens humains et financiers hors-norme, ce qui, par définition, est absolument irréalisable à grande échelle, je crains que le projet ne soit voué à un échec certain.

Où trouver un professeur qui puisse atteindre ses objectifs en lecture, écriture, mathématique, socialisation, expression verbale ou corporelle (…) et dont la langue maternelle n’est pas le français ? Au nord du pays ou de l’autre côté de la Manche, certainement ! Ici, la tâche me semble moins aisée…

Le recrutement des instituteurs va poser problème. Leur encadrement pédagogique sera ou pratiquement inexistant, ou inapproprié. La remédiation, en grande partie à charge des parents, uniquemment à la portée des familles socialement et financièrement favorisées…

Celui ou celle qui prétendra le contraire prouvera sa méconnaissance du sujet. Les bonnes intentions ne suffisent pas toujours.

S’il vous plait ! Prenez garde que l’immersion de nos enfants ne se transforme pas en…
noyade !

32. Le dimanche 11 mars 2007 à 13:30, par Ellen

Voilà je suis tombée sur ce blog en faisant des recherches pour mon TFE autrement dit travail de fin d'étude dont le sujet est: les écoles d'immersion linguistique. Bref ce que je voulais dire c'est que je trouve abérant les personnes qui disant qu'apprendre le néerlandais ça sert à rien: on vit en Belgique merde! Vous voulez quoi? Être obligé de communiquer en Anglais avec la Flandre parce que vous êtes même pas capable de parler l'autre langue nationale? Et pensez un peu aux personnes qui ont un parent flamand et un parent wallon, ou aux wallons ou flamands qui vont vivre de l'autre côté de la Belgique, ...

Je voulais aussi dire à la personne qui dit que notre handicap par rapport aux USA c'est que nous n'avons pas une seule langue commune. Pour moi c'est justement la richesse de l'Europe! Vous voulez quoi? Qu'on ne parle plus que l'anglais? Que çela devienne petit à petit la langue mondiale ... suivit de la culture américaine comme culture mondiale ... bref une grosse américanisasion du monde?

Et non deux langues ça ne suffit car plus on connait de langues plus notre cerveaux devient performant et plus on est ouvert aux autres (ce qui vu les commentaires de certains n'a pas l'air d'être le cas de tout le monde)

Bref je voulais ajouter que le reportage de la RTBF ne nous à pas ridiculisé au pres des autres pays (c'est un fait, on est ridicule à cause de cette foutue frontière linguistique que certains semble vouloir agrandir, mais le témoignage n'y est pour rien ... justement il a du ouvrir les yeux à pleins de monde qui se sont enfin rendu compte qu'ils ne voulaient pas se séparer des flamands) ... justement la France à adorée et à dit que c'était très bien d'amener un débat ainsi au peuple pour qu'enfin il réagisse ... mais on s'en fou ça a rien avoir avec l'immersion linguistique de toute façon.

Comme vous l'aurrez compris ma vision des choses est que chaque langue connue est une clef qui nous ouvre une nouvelle porte. Si vous ne voulez pas apprendre le néerlandais, apprenez au moin une autre langue (espagnole, italien, ...) pour compenser.

Sur ce bonne journée

Ellen

33. Le dimanche 11 mars 2007 à 13:55, par BLDL

L'apprentissage d'autres langues ne peut être que bénéfique, d'abord pour soi, et puis pour aller vers les autres.
Pour l'immersion, le chômage ne devrait pas venir à l'esprit, qu'on propose aux enseignants de suivre une formation, certains seraient peut être enchantés, après tout il n'y a pas d'âge pour apprendre!!

34. Le dimanche 11 mars 2007 à 14:18, par syl

@ BLDL,33

"après tout il n'y a pas d'âge pour apprendre!! "
Tout-à-fait : le jour ou on n'évolue plus, ou on n'apprend plus, ou on ne se remet plus en question, on est déjà mort!
J'exagère, mais si peu...
D'ailleurs, à presque 50 ans, je suis encore en train de suivre des cours en promotion sociale et à explorer de nouvelles pistes pour mes loisirs :D

35. Le dimanche 11 mars 2007 à 18:22, par satisfait

réponse à ellen - 32 - et en particulier aux paragraphes premier et troisième.
D'abord, bonjour.

le néerlandais se parle en Hollande et en région flamande (du moins) pour les personnes de cette région qui peuvent le parler correctement ou le comprendre.Ceci étant dit , si vous êtes néerlandophone,chapeau pour votre vocabulaire.
Maintenant et sans prétention aucune ,tout en évitant de vouloir vous heurter, si vous êtes francophone, une immersion en français serait loin d'être superflue.
avec toutes mes excuses et mes hommages

36. Le vendredi 16 mars 2007 à 00:08, par Ellen

réponse à satisfait - 35 - Je suis bilingue, je sais que j'écris pleins de fautes d'orthographes (c'est l'enseignement classique qui veut ça (des tests ont été fait et les élèves en immersion sont meilleurs en orthographe dans la langue maternelle et dans la langue cible) apparement ... parce que je suis loin d'être là plus mauvaise en orthographe de ma classe alors que je suis dans une des meilleures classes du Brabant Wallon) mais j'assume, et j'en refait surrement encore pleins maintenant mais vu l'heure tardive je pense que c'est excusable. De plus j'ai 17 ans donc pas une expérience énorme de l'écriture.

-le néerlandais se parle en Hollande et en région flamande- ai-je dit le contraire? ... Je voudrais tout de même préciser que la Hollande n'est pas un pays mais une province des Pays-Bas ... et que ce n'est pas seulement dans cette province que l'on parle le néerlandais mais dans le pays tout entier.

Sur ce bonne ... nuit

Carlo Di Antonio