Mercredi 06 septembre; Pas contents les commerçants !

Par Carlo Di Antonio, mercredi 6 septembre 2006 à 22:08 :: Mon petit journal de campagne : chaque jour une réflexion, un coup de cœur, un coup de gueule, une idée... :: #72 :: rss

Ces dernières années les commerçants dourois ont du travailler dans des conditions pour le moins difficiles. La succession de travaux interminables, les défauts de l'actuel "plan" de circulation, l'absence de solutions efficaces en terme de parking de proximité, la malpropreté, l'absence de solutions pour les cellules vides... etc etc ont durement pénalisé les commerçants qui vaille que vaille continuaient à travailler sérieusement dans le centre de Dour.

Alors que l'on croyait ces problèmes derrière nous un nouveau chantier vient de s'ouvrir. Celui de la réfection des murs de l'église. Ces travaux étaient prévus mais la moitié du parking grand place ne devait pas être fermée pendant toute la durée des travaux. Nous avions obtenu l'assurance que l'échafaudage s'arrêterait au niveau des parterres et du trottoir. Nous allons revenir sur le sujet pour tenter de faire bouger les choses... Les commerçants de Dour n'ont sûrement plus besoin de cela! Ils ont assez souffert.

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Commentaires

1. Le mercredi 13 septembre 2006 à 14:41, par habitant de Dour

On ne fait d'omelette sans casser des oeufs....Toujours pour se plaindre...
La commune fait des travaux (prévus) pour avoir une église en bon état et on rouspette encore....
L'embellissement à un prix, certe il faut de la patience et il était grand temps de le faire!!!????. Etes-vous entré dans l'église, ? l'état déplorable du plafond, des murs, des vitraux...

2. Le mercredi 13 septembre 2006 à 15:00, par Carlo

Je pense que vous n'avez pas bien lu. A moins que vous n’ayez pas l’envie de comprendre le sens du message. La nécessité des travaux n'est pas en cause. Ai-je parlé de cela ?
Regardez bien les chantiers équivalents sur d'autres lieux. Il n'était pas nécessaire de condamner aussi largement le parking. Un peu d'initiative et d'implication permettraient d'atténuer l'impact pour les riverains et les chalands qui cherchent à se garer pour accéder aux commerces tout proches.

3. Le mercredi 13 septembre 2006 à 16:47, par un jeune dourois

Comme vous le savez surement, l'église est un volume bâti assez élévé et je crois que la sécurité des lieux autour de ce volume doit être assuré au maximum aussi bien en cas de chute de briques que pour le confinement du matériel nécessaire à la réfection du volume.

Et que sont ces commerçants de la grand rue qui se plaignent sans cesse et qui ferment leurs commerces durant les heures de midi alors que leur clientèle qui travaille ne peut être présente qu'à ce moment, qu'on a l'air de déranger quand ils sont ouverts, qui sont inactifs au sein de l'asbl gestion centre ville et qui n'attendent que tout leur tombe cuit dans le bec sans bourse délié. Si ca c'est le commerce, c'est du commerce socialiste - c'est à dire tiré par le bas - et non un commerce d'excellence, créatif et amibitieux.
Je comprends mieux dès lors que le commerce périclite dans la grand rue et qu'un nouvel ensemble de jeunes commercants (ou commerces) se développe vers Trichères.

4. Le mercredi 13 septembre 2006 à 20:25, par Carlo

Nous ne sommes pas d'accord sur la largeur nécessaire pour un échaffaudage avec filet protecteur. Pour ce qui est de votre manière de voir les commercants de la grand rue et de la grand place je ne peux que désapprouver. Je leur ferai part de votre analyse constructive. De la part de qui?

5. Le vendredi 15 septembre 2006 à 18:51, par Un observateur dourois .

Il est vrai que nos responsables communaux devraient parfois suivre des cours de planification et de flux de "produits" , en l'occurence les automobilistes .
On a déjà pas mal épilogué sur le grand parking contigu à la place de l'église mais il faudra un jour trouver une solution et une occupation sérieuse de ces m² mal utilisés .
On coïnce dans la Gand rue et cet espace gigantesque inaccessible par la place ( à moins que cela n'ait changé depuis ma dernière visite ) a un taux d'occupation en pointe qui ne dépasse certainement 10 % . Nous n'épiloguerons pas non plus sur le parc de Dour qui , pour les raisons bien connues ne peut pas être reconverti même partiellement en parking ...... et pourtant . Prenons l'exemple de St Ghislain . Certes , nous ne pouvons pas comparer la rue Grande de St Ghislain et celle de Dour dimensionnellement parlant mais le commerce y marche bien ..... pourquoi ?
Bref , on a l'impression de tourner en rond , de ne pas avoir une vue globale sur l'ensemble des problèmes et par voie de conséquence sur les solutions à apporter .
Espérons que notre nouvelle équipe se penchera sérieusement sur ce problème ..... et je fais un petit clin d'oeil à celui qui est capable de canaliser et de gérer un flux de 125 000 personnes dans une manifestation musicale hors pair ...... je lui souhaite de gérer prochainement la commune avec la même efficacité .

6. Le vendredi 15 septembre 2006 à 20:23, par bernard

1) Pour ce qui est des travaux a répétition, il eut été judicieux de mieux les planifier (je comprends la colère des commerçants)
2) A chaque enterrement le corbillard stationne sur la route (gêne pour la circulation, risque d'accident), alors qu'il était si simple lors des travaux de prévoir la possibilité pour celui-ci de créer un lieu de stationnement spécifique.
3) Améliorer la signalisation du grand parking (mal signalé pour un étranger qui vient à Dour pour la première fois).

7. Le dimanche 17 septembre 2006 à 16:08, par Damien

Je crois que le problème de la réfection de l'église est dû à un manque de coordination et de compétence, il aurait été plus judicieux de faire ces travaux en même temps que les travaux de l'ancienne commune et de la Gd Place en somme un projet global (ce qui manque à Dour). En plus que sont devenues les plantations enlevées par les services communaux...??? Encore une fois des dépenses inutiles

8. Le lundi 18 septembre 2006 à 19:23, par le vent se lève

Il y aurait tant à dire sur les travaux; et ceux de la Gd-place en particulier.
Bernard, vous me permettez par votre intervention de débattre de ce qui suit.
En ce qui concerne l'emplacement du le corbillard lors des enterrements. Les riverains ont demandé une place de parking qui serait réservée aux pompes funèbres. Ils l'ont obtenue. (C'est à ma connaissance pratiquement la seule concession qu'ils aient eue.) .Je me suis laissé dire que celle-ci était inutilisable car « on « ,heureux proverbe indéfini, « on »aurait perdu les clefs qui auraient permis d'enlever les bornes. Bornes interdisant l'accès en d'autres moments. !!!!!
Je me suis laissé dire aussi que la fontaine derrière l'église ne fonctionnait pas car « on », toujours lui, « on » aurait oublié la pompe nécessaire au fonctionnement du circuit fermé. Mais vous et moi sommes certains qu'il ne peut s'agir que d'intox fournie par des mauvaises langues. Comment oser penser que l'on gère si mal les derniers publics. Hummm ???

les aventures de « on »..... à suivre .

9. Le mardi 19 septembre 2006 à 12:18, par Un observateur dourois

Commerçants mécontents ?

Je peux comprendre le mécontentement des commerçants dans certaines situations et on ne peut effectivement nier que certaines situations les mettent dans l'embarras .
Je reviens sur la chute de l'activité commerciale de Dour en particulier mais également d'autres communes de la région .
Ne trouvez-vous pas que les heures de fermeture des magasins de détail soient en partie la cause de l'absence de la clientèle ?
Nous sommes dans une zone frontière et la concurrence avec la France est plus importante qu'ailleurs ; raison de plus pour être imaginatif . Allez à Valenciennes et vous trouverez les magasins ouverts à des heures où les travailleurs peuvent encore se permettre de les visiter . Je sais que cela représente une contrainte familiale pour le commerçant mais c'est le choix d'une profession qu'ils ont fait .
Pourquoi ne pas entamer une période probatoire d'un an par exemple en instaurant un horaire de fermeture plus tardif quitte à prolonger l'arrêt du midi et en tirer les conclusions objectives .

10. Le mardi 19 septembre 2006 à 20:26, par JaDe

Bonne idée de modifier les heures d’ouverture.

De toute façon, le commerçant devra toujours s’adapter aux changements d’ habitude de la clientèle.

Pour être efficace, il faut un « effet de groupe« . (Il faut que tous les commerçants ouvrent jusque 20 heures, par exemple.)

En test, il ne faut pas rêver, cette situation n’est pas possible durant un an. Et ce n’est pas de la mauvaise volonté. Il y a toujours des contraintes , des obligations qui empêcheront un tel ou un tel de suivre ce mouvement. Que se soit des obligations familiales ou une formation professionnelle (qui ne peut pas se faire pdt les heures d’ouverture). Ou tout autre raison… comme par exemple une librairie qui ouvre vers 6 heures du matin , qui ne ferme pas à midi… difficile de leur demander de faire un effort tous les jours jusque 20 heures !!!

Généralement, le commerçant ne compte pas ses heures… Il est souvent incapable de dire lui-même combien de temps il travaille. Dans la très grande majorité des cas, c’est bien au-delà de 40 heures par
semaine, bien au-delà de ses heures d’ouverture. Il ne faut pas oublier les heures consacrées à l’administratif (no comment pour ce point ), aux commandes, aux rangements, à toute tâches exécutées à volet fermé.

Mais tout cela fait partie de la règle du jeu, du choix d’être commerçant.

Après avoir dévoilé cette vie moins connue de nos commerces, il me semble plus raisonnable de leur demander de tester une nocturne hebdomadaire pendant un an.

11. Le jeudi 21 septembre 2006 à 21:41, par Un observateur dourois

D'accortd avec toi JaDe.

Quand je parlais de l'heure de fermeture , il est clair que cet élément n'est pas le seul à mettre en évidence .
L'adaptation aux nécessités du client et selon les types de commerce est évidente
Une généralisation aveugle d'un concept n'est pas à retenir bien entendu .

12. Le samedi 7 octobre 2006 à 11:36, par bernard de dour

a tous bonjour
oui moi je suis d'accord pour le prolongement des heures d'ouvertures pour les commerces
a cora (hornu) queques magasin sur la route de Mons et à Quaregnon on sait encore se procurer des vivres pour ceux qui travaillent tard eh oui on est pas des bureaucrates qui terminent à 16h

13. Le vendredi 13 octobre 2006 à 21:11, par philippe

franchement croyez vous que si c'est monsieur carlo di antonio passerait
bourgmestre de la ville dour ce qui n'est pas le cas!!! cela changerai quelque chose???moi j'en doute desole.
Monsieur carlo di antonio prouvez moi le contraire meme en n'etant pas le bourgmestre vous savez faire des choses on ai bien d'accord
si vous le faite je serai avec vous ainsi que ma famille

14. Le jeudi 23 novembre 2006 à 11:25, par Un observateur dourois

Dans le cadre de la motivation des commerçants et également des proriétaires privés de maison de commerce , je suis étonné que le niveau de TVA applicable pour des travaux , réalisés par le propriétaire privé dans un immeuble qu'il loue à un commerçant ne soit pas ramené à 6% .
Cette TVA ne sera récupérée par personne ( sauf par le fisc bien entendu ) puisque n'entrant pas dans la comptabilité du locataire commerçant .
Cette mesure motiverait les propriétaires d'immeubles commerciaux qu'ils n'occupent pas à débourser un peu plus pour la remise à neuf de surfaces commerciales .
Ces propriétaires sont déjà taxés en déclarant les loyers comme revenus , ils sont parfois les victimes de locataires peu scrupuleux et , dans ces cas , doivent débourser des sommes importantes en frais de justice pour récupérer souvent des miettes .
Un petit encouragement dans ce sens , messieurs du fisc , ne feraient pas de tort au développement du commerce.

15. Le samedi 25 novembre 2006 à 12:27, par Phil

Nous sommes fin novembre et plus rien ne bouge sur le chantier !? De qui se moque-t-on ?

16. Le mardi 26 décembre 2006 à 08:44, par Un observateur dourois

Le dourois ne fait quand même pas grand-chose pour soutenir sa commune.
On connaît la tendance du dourois à préférer faire vivre les commerces extérieurs à la commune.
Réputation qu’il a toujours eue et qui ne fait que s’amplifier avec le temps.
Hormis les commerces traditionnels, notre seul cinéma dourois est l’image parfaite de cet état d’esprit .
Si vous y allez de temps en temps, vous verrez que l’on est loin de se bousculer.
Cinq , dix spectateurs , tel est le niveau de remplissage de la salle.

Par contre, fermez ce cinéma et nous verrons des centaines de protestations à cette décision : bizarre la réaction du citoyen par rapport à un évènement.
Notez que je fais partie des absents des séances. Je me dis que je fais peut-être partie des rouspéteurs .
J’ai donc décidé de rendre visite de temps en temps à notre cinéma dourois, les films ne sont pas trop mal . Ils passent certes après les séances de Mons mais qu’importe, l’important est d’essayer de recréer une ambiance de cinéma de quartier du bon vieux temps. Nous en avons l’occasion, ne lâchons pas cette opportunité.
Carlo , toi qui a parfois des solutions miracles ou originales, ne peux-tu pas sortir quelque chose de ton chapeau de magicien pour relancer ce débat ?

17. Le mardi 26 décembre 2006 à 13:16, par Vincent

Réponse au commentaire n°16 de l'observateur dourois :
Je n'habite pas Dour et ne suis jamais allé dans ce cinéma, mais je suis tout à fait d'accord avec l'esprit de votre message. Une des caractéristiques des Belges (et des Wallons en particulier) est de ne pas savoir mettre en valeur nos acteurs du monde culturel et je pense que nous avons tous un rôle à jouer.

J'ai déjà eu, à plusieurs reprises, des discussions animées avec des professeurs de français dans le secondaire sur le choix des livres à lire en classe. Il est normal d'apprendre les classiques (tels Molière, Victor Hugo ou Camus) mais on devrait introduire plus d'auteurs belges dans les classes : Vincent Engel, Nicolas Ancion, Rémi Bertrand, Françoise Houdart, Daniel Charneux, Colette Nys-Mazure, François Weyergans, etc. Certains d'entre eux habitent notre région et pourraient venir dialoguer avec les élèves. C'est tellement plus vivant. N'oublions pas qu'en achetant des livres de maisons d'édition belges, on donne un coup de pouce à l'emploi... Les médias devraient aussi mieux mettre en valeur nos écrivains qui se battent pour vivre de leur plume. N'ont-ils pas autant - si pas plus - de mérite que les stars commerciales de la littérature?

Dans le domaine de l'enseignement, cela m'agace quand les instituteurs de primaire organisent des classes de neige ou de dépaysement à l'étranger (où tous les enfants ne savent pas aller vu le coût...) alors qu'il y a tant à faire en Belgique! Je pense notamment au Parc d'Aventures Scientifiques de Frameries qui devrait devenir le fleuron de l'arrondissement de Mons-Borinage.

Mais les autorités politiques ont également une part de responsabilité. Un exemple concret : le manque d'activités du Parc Naturel des Hauts-Pays et la fermeture provisoire (voire définitive?) du Musée Emile Verhaeren à Roisin. J'espère que les nouveaux bourgmestres (y compris Carlo Di Antonio) vont mettre leurs divergences de côté pour défendre ensemble ce dossier auprès du ministre Benoît Lutgen qui tarde à débloquer les euros nécessaires pour rénover la Maison du Parc à Roisin.

En ce qui concerne le cinéma de Dour, le succès du Plazza Art à Mons démontre qu'il y a moyen, avec un peu de promotion et d'imagination, de sauvegarder un "cinéma à l'ancienne" face à Imagix.

En conclusion, je prends l'exemple de Lille et le Nord-Pas de Calais qui malgré le taux important de chômage, utilise judicieusement la culture pour mettre en valeur leur région et...aussi créer de l'emploi. Pourquoi ne pas faire de même dans notre arrondissement de Mons-Borinage? Nous avons les infrastructures (Pass, Macs, Le Manège, musées montois, etc.), les hommes d'influence (Di Rupo, Donfut, Di Antonio, Fonck, Miller, etc.), un projet d'importance (Mons, capitale culturelle européenne en 2015?), des bonnes communications (autoroutes, arrêt du Thalys, etc.), mais... je ne ressens pas la volonté de mettre tout cela en valeur, tant chez les politiques, les médias locaux que les simples citoyens.

Qu'en pensez-vous?

18. Le mardi 26 décembre 2006 à 13:55, par kooolman

@Un observateur dourois #16

on pourrait faire du cinoche de Dour, un Plaza-Art 2 tout en gardant la diffusion de films récents à un prix réduit.

Les gens désertent cette salle simplement parce que le son n'est pas bon. A 15min de Dour, Imagix_Mons est un "vrai" cinéma. Bien assis, très belle image sur un "vrai" grand écran et un son irréprochable. (si Imagix ne m'offre pas 2 entrées après ça :)).

Malgré ce mastodonte voisin, le Plaza-Art réussi à attirer une foule très nombreuse en proposant un cinéma d'auteur.
Ils réalisent également parfois des "coups" comme par ex la diffusion d'un film muet accompagné d'un fond sonore joué en live. (www.douraddict.net/dourba...
dont j'ai râté la séance du Cuirrassé Potemkine accompagné de Project:Mayhem de l'ami Jay :) (mais c'était le 08 octobre et ce jour là, j'avais autre chose à faire :))))

évidemment le Plaza-Art bénéficie également du soutien financier d'Imagix (c'était une obligation lors de sa création) et de la Ville de Mons.

Je n'ai aucun renseignement sur les sous-sous du cinoche dourois. Je sais qu'il y a un partenariat avec (encore) Imagix mais je n'en sais pas plus.
p-e que l'hôte de ce blog pourrait en dire plus.

voili, qu'en penses-tu l'observateur dourois ?

merci
;-)
kooolman

19. Le mardi 26 décembre 2006 à 14:55, par Carlo Di Antonio

Bonjour, je suis en congé jusqu'au 04 janvier. La discussion autour de l'avenir du cinéma devra effectivement avoir lieu rapidement car la formule actuelle ne satisfait pas grand monde. Rendez vous en 2007 pour de nouvelles aventures... Bonnes fêtes de fin d'année.

20. Le mardi 26 décembre 2006 à 16:27, par Un observateur dourois

Réponse aux 18 et 19

Bon congé Carlo, je pense que tu as mérité de souffler un peu après cette mémorable année 2006.

Pour répondre à Koolman, son idée mérite analyse et lance une bonne piste de réflexion.
La comparaison technique des moyens d'imagix et ceux de notre salle douroise ne sont effectivement pas comparables . On ne recherche pas non plus la perfection mais un niveau de qualité correct.
Pour les sous-sous comme tu dis Kooolman ( avec trois o hi hi ), je n'ai aucune idée précise du financement. Il doit y avoir plus qu'un un coup de pouce car subsister avec une moyenne de fréquentation aussi basse est impossible.

Carlo a noté le sujet dans son petit carnet pour la rentrée, on aura l'occasion d'en reparler.

Bonnes fêtes de fin d'année également.

Carlo Di Antonio